Il faut être bien chaussé pour aller sur les sentiers de montagne, avoir une tenue légère et tout-temps pour être à l’aise. Certains parlent des trois couches de vêtements que l’on enlève ou rajoute au gré de la météo. Il faut aussi un bon sac pour ne pas se faire mal au dos et savoir bien le remplir pour garder son équilibre en marchant.

Les bâtons sont optionnels, mais ils aident bien à soulager les jambes dans les descentes et le dos dans les montées. Ils sont indispensables lorsqu’on part pour une marche nordique.

Vient la discussion sur le contenu de la petite trousse de secours. Elle doit contenir nos médicaments personnels (à ne partager avec personne d’autres, sauf si nous sommes médecins et que nous soyons autorisé à faire une prescription), un peu de paracétamol (cela ne fait jamais de mal), du sucre (toujours bon quand on à un coup de mou), des pansements pour les petits bobos et les ampoules, quelques produits répulsifs pour les insectes ou la protection solaire éventuellement, …

Plus rarement le sujet de la signalétique est abordé. Et pourtant, être visible, se signaler ou se faire entendre est parfois tout aussi indispensable qu’une bonne paire de chaussures. C’est dans les moments de stress  qu’on se rend compte de l’utilité de certains objets. Une simple couverture de survie tient chaud et permet aussi d’être vu de loin avec son côté brillant. Une lampe frontale permet de voir et aussi d’être vu la nuit, des vêtements de couleurs aident les secours à vous identifier.

Et le sifflet, me direz-vous? Et bien, le sifflet, il permet d’être entendu de loin même quand on ne vous voie pas (dans la brume, sous le couvert végétal, …).

Guillaume Jacob